Michael R. Pompeo, secrétaire d’État
Le 10 décembre 2020
À l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, les États-Unis célèbrent les droits et les libertés inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948. Cette journée a une résonance particulière pour les Américaines et les Américains, car les États-Unis ont été la première nation fondée sur la croyance que tous les individus sont créés égaux et doués par leur Créateur de certains droits inaliénables. D’ailleurs, c’est une première dame américaine qui a convoqué la conférence des Nations unies qui a créé la Déclaration de 1948.
Sous l’administration Trump, le département d’État a joué un rôle de premier plan dans la promotion et la protection des droits inaliénables. Plus tôt cette année, le département [d’État] a publié le rapport de la Commission des droits inaliénables, qui réaffirme le rôle indispensable que les États-Unis jouent, et joueront toujours, en matière de respect et de protection des droits de l’homme. Et partout dans le monde, nous avons manifesté notre ferme soutien à celles et ceux qui luttent pour leurs droits inaliénables et la dignité humaine, du Xinjiang à Lagos, de Minsk à Islamabad.
L’histoire montre qu’une gouvernance qui respecte les droits de l’homme et soutient la dignité de tous les êtres humains contribue à rendre le monde plus sûr et plus prospère. Mais l’histoire nous enseigne aussi que les droits de l’homme doivent toujours être protégés avec vigilance. Aujourd’hui, les États-Unis réaffirment leur engagement à demeurer toujours solidaires de celles et ceux qui luttent pour leurs droits et exhortent toutes les nations à protéger les droits de l’homme que nous chérissons tous.